Sofia Bonasoli est certainement la tueuse en série la plus tristement célèbre à ce jour en Italie. Rien ne prédestinait cette femme aux 28 victimes à faire ce massacre. Ses victimes ne sont que des enfants, la fillette la plus âgée avait seulement 9 ans. Cette femme d’une quarantaine d’années a plongé dans cette folie meurtrière parce qu’elle jalousait le bonheur d’autrui. Tout commença il y a 8 ans, Sofia était en couple avec Marco depuis bientôt 10 ans, une vie commune sans accroc remplie de bonheur et de projets. Et de projets, il y en avait un auquel tenait le couple, c’était d’avoir leur premier enfant. Madame ne portait plus le stérilet pour pouvoir procréer. Mais aucune grossesse n’arriva, Sofia et Marco passèrent alors des tests médicaux pour savoir si l’un d’eux était stérile. Les résultats ne mirent pas en cause la fertilité de Marco. De nouveaux tests furent effectués sur Sofia et les résultats furent tout autre, elle était stérile. Elle ne pourrait jamais avoir d’enfants. Sa vie s’effondra, elle était inconsolable, son rêve d’être maman n’aurait jamais lieu. Marco s’éloigna de Sofia, son désir d’enfant était trop fort et mit fin à leur vie commune. Son divorce fit sombrer encore un peu plus Sofia dans une grave dépression, un état insurmontable qui lui fit perdre également son travail. Seule, elle vécut en autarcie, sans famille et sans contact, elle avait coupé les liens avec tout son entourage. Elle se refusait à sortir de chez elle pour ne pas voir le bonheur des autres, voir les enfants des autres, sa blessure était trop forte.


Sa haine intérieure se développa de plus en plus jusqu’à ressentir un besoin de vengeance envers la vie. Derrière la fenêtre de son salon, elle voyait passer, tous les jours, ces enfants qui se rendaient à l’école. Elle les détestait tous, cette vision d’enfant créait en elle un mal terrible. Un jour, Sofia disjoncta et passa dans un état second. Munie d’un couteau de boucher, elle suivit un enfant qui rentrait de l’école. A quelques mètres de lui, elle guetta si personne ne la voyait, la rue était déserte, elle attrapa alors l’enfant par son cartable rouge et lui trancha la gorge, puis elle l’abandonna, agonisant, et s’enfuit. L’enfant décéda malgré l’intervention des secours. Ce meurtre fut une onde de choc dans tout le pays. Cette ignominie envers un enfant créa des manifestations demandant le rétablissement de la peine de mort. Aucun témoin ne put mettre sur la piste les enquêteurs, Sofia, pas vu pas pris, jouissait de ce meurtre. Ses pulsions ne s’arrêtèrent guère et elle développa ce besoin de continuer à tuer des enfants. Pour être au plus prés d’eux, elle trouva un travail dans une colonie de vacances. Elle excellait dans un double jeu où elle était l’amie des enfants, leur confidente et à la fois au fond d’elle, elle savait qu’ils n’étaient que des futures proies. Un soir, Sofia partit dans la chambre d’un enfant pour l’emmener à la piscine, prétextant souhaitant lui apprendre à nager. Il n’avait pas envie mais elle le força. Dans l’eau, elle le noya sans attendre et laissa le corps d’Alessandro flotter, inerte. Aucun témoin présent, elle ne fut jamais suspectée de sa mort. La conclusion de son décès fut que l’enfant était parti seul nager dans la piscine et s’était noyé.


L’appétit meurtrier de Sofia grandit et elle se prépara pour un grand soir. Elle voulait tuer tous les enfants de la colonie. Il y avait 26 enfants dormant dans le centre, assez pour combler l’appétit de la tueuse en série. Le soir du 10 juillet 1996, les enfants partaient dormir sans savoir que c’était leur dernière nuit. A une heure du matin, munie de son couteau de boucher, Sofia arriva dans le long couloir des chambres des enfants. Déterminée, elle rentra dans les chambres dans l’obscurité la plus totale et frappa, de deux coups de couteau, les lits de chaque enfant, tous tués pendant leur sommeil. Quelques heures plus tard, le massacre était découvert, 26 lits imbibés de sang, aucun enfant ne survécut. Le bilan fut terrible. Sofia, elle, fut découverte dans le parc des enfants, couteau à la main, en train de jouer et rigoler en faisant de la balançoire. Internée à vie à l’asile Cesar Barone pour de graves troubles psychologiques, elle passa le reste de sa vie à écrire des contes pour enfants.


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