Cet hôpital situé en France a eu plusieurs vies tout au long de son existence dont celle d’un asile psychiatrique comme dernier usage. Romain Defrinard a longtemps vécu ici comme patient, atteint de troubles graves, sa pathologie lui avait évité la prison après le meurtre qu’il avait commis dans les années 1990. Depuis ce temps, les médecins essayent de le réintégrer dans la vie active, loin de ses démons. Son passage à l’acte hante encore les faits divers et son entourage médical a bien conscience que ce travail de réintégration sera très difficile.
En 2004, Romain a obtenu sa libération grâce à une association qui lui mit à disposition un logement contre du bénévolat, cette association lutte contre la pauvreté. C’est ainsi qu’il commença sa nouvelle vie à Laval, distribuant des repas aux plus démunis, chaque soir à côté du Square de Boston. Il a tout de suite pris ses marques et s’est révélé être un vrai humaniste, altruiste avec les autres et impliqué en participant activement à la lutte contre la pauvreté. C’est de cette façon qu’il fit la connaissance de Sylvie, une femme un peu paumée qui venait chaque jour récupérer de quoi se nourrir. Ils se sont tout de suite attachés l’un à l’autre ce qui a donné littéralement l’union de deux êtres déchirés, unis dans leur monde en quête d’espérance. Sans perdre de temps, Sylvie emménagea chez Romain, le couple vivait en parfaite harmonie sans que l’homme ne cède une nouvelle fois à ses anciennes pulsions.
Un soir, lors d’une relation sexuelle, Sylvie, excitée, fit chavirer une nouvelle fois Romain. Sans penser à mal, elle lui demanda d’un ton vulgaire « Bouffe moi la chatte ». Sans crier gare, il lui mordit le clitoris pour lui arracher, sous les hurlements de Sylvie, son passé de cannibale refit surface. En sang, Sylvie essaya de s’échapper mais l’homme qui était surnommé autrefois « Le Cannibale de Tourcoing » ne lui laissa aucune chance et la dévora vivante. Les voisins alertés par les cris appelèrent immédiatement la police, Romain ne prêta aucune résistance lors son arrestation et se fit une nouvelle fois interner.
Cet événement fut une onde de choc, la population ne comprenant pas comment un cannibale avait pu être remis en liberté et l’institution médicale fut montrée du doigt immédiatement. Les experts psychiatres se défendirent en disant que Romain n’avait plus de pulsions depuis longtemps et que cet acte était totalement incompréhensible. Une surprise, certainement pas, une infirmière témoigna à charge contre son hôpital en indiquant qu’elle fut elle même victime du cannibale il y avait quelques mois de cela. Elle avait eu le malheur de lui dire en le voyant en train de se curer le nez « Tu veux mon doigt ? », ce à quoi Romain, voyant ça comme une invitation culinaire, lui avait arraché l’auriculaire avec ses dents. Ses collègues alertés par ses cris avaient réussi à le maîtriser et elle s’en était sortie vivante, une alerte qui n’aura pas sauvée la vie de Sylvie.
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