Située dans une zone industrielle, cette boite de nuit a connu une nuit de cauchemar, la nuit du 13 janvier 1996. Pour Sara, cela devait être une soirée de travail comme les autres, stripteaseuse pour arrondir ses fins de mois, elle était toujours accompagnée pour ses shows en discothèque de deux autres femmes, Carla et Rebecca.


Il est quatre heures du matin, la salle est pleine, le deejay annonce l’arrivée des stripteaseuses sous les cris des hommes surexcités. Elles arrivent sur le podium en direction des barres de pole dance en chauffant le public. Les trois jeunes femmes se caressent entre elles, certaines personnes essayent même de toucher du bout des doigts ce fantasme d’un soir, tentatives directement repoussées par les vigiles.


Dansant sensuellement autour des barres, elles laissent tomber le haut pour dévoiler leur poitrine généreuse, la testostérone du public est en alerte maximum et encourage les filles à se mettre complètement nues. Se caressant et se léchant entre elles, à tour de rôle, elles s’enlèvent leur string et disparaissent immédiatement en coulisses en guise de conclusion du show.


Elles reviendront, le temps de se rhabiller en tenue sexy, au bar de la discothèque pour la séance photo et dédicace, les nombreux mâles en ébullition se pressent pour immortaliser cette soirée. Nombreux auront des gestes déplacés en effleurant la poitrine et les fesses des stripteaseuses, une habitude malsaine des hommes qu’elles rencontrent lors de leurs déplacements.


Il est bientôt cinq heures du matin, le deejay lance une dernière musique en signe de fin de soirée, les fêtards se déplacent au fur et à mesure en direction des vestiaires pour récupérer leurs affaires tandis que les stripteaseuses attendent dans leur loge que le patron de la boite vienne leur verser l’argent pour le show.


La discothèque se vide totalement, il ne reste plus que les vigiles qui vérifient qu’il n’y a plus personne, en prenant soin d’aller voir derrière les portes des toilettes. Ils passeront ensuite saluer les stripteaseuses, en les félicitant pour le show et joueurs dans l’âme, laisseront leurs numéros de téléphone telle une boule numérotée d’un tirage du loto.


Les filles s’impatientent, le patron n’arrive toujours pas et leurs tentatives de le joindre au téléphone n’aboutissent pas. D’un seul coup, une coupure de courant plonge la boite de nuit dans le noir, le silence est complet, on ne voit plus rien, elles prennent peur et se demandent ce qu’il se passe.


Carla ouvre la porte de la loge et elle ne voit strictement rien, à l’aide de son téléphone, elle illumine légèrement le couloir et part voir, avec une certaine tension, ce qu’il se passe. Les deux autres filles, bien moins courageuses, restent cloîtrées dans la pièce. Avançant prudemment, la discothèque est déserte, elle entend une porte s’ouvrir légèrement, sursautant elle demande s’il y a quelqu’un, personne ne répond. Inquiètes, les filles, enfermées dans la loge, demandent en criant à Carla si tout va bien, elle répond au loin par l’affirmative tout en essayant de voir ce qu’il se passe avec la faible luminosité de son téléphone. Elle commence à paniquer, elle sent une présence à côté d’elle, tétanisée, elle se cache sous une table et attend de voir ce qu’il se passe. Des bruits de pas cassent ce silence pesant, il y a quelqu’un d’autre dans la salle. La jeune femme tremble et la peur la paralyse totalement. Quelques pas et plus rien, le silence est à nouveau là. Elle ne bouge pas, attend, ne sait plus ce qu’elle doit faire.


Rebecca et Sara demandent à nouveau en criant si tout se passe bien, Carla, cachée sous la table, n’ose pas répondre, les filles s’inquiètent. Après un instant de réflexion, Carla rallume la lumière de son téléphone et illumine la pièce autour d’elle. Elle découvre alors un homme la regardant et arrivant vers elle, son hurlement affolera les filles restées dans la loge. Immédiatement, elles appellent la police pour prévenir qu’il se passe quelque chose de grave dans la discothèque. Au bout du téléphone, un agent des forces de l’ordre leur demande de bien rester enfermées dans la pièce et d’être silencieuses le temps qu’ils arrivent.


Le temps est long, les filles sont pétrifiées de peur, assises par terre au fond de la loge. D’un coup quelqu’un tape à la porte, elles ne répondent pas, la personne tape de plus en plus fort sur la porte et Sara lui crie de les laisser tranquilles. La personne cesse ses coups et s’en va.


Quelques instants plus tard, la discothèque s’illumine de nouveau, les lumières se rallument et la musique se remet en marche. Les filles s’approchent de la porte pour écouter ce qu’il se passe quand d’un coup un couteau de boucher ensanglanté passe à travers la porte, les filles hurlent et paniquent, l’homme détruit violemment la porte à coups de couteau et rentre à l’intérieur de la loge. Rebecca et Sara sont chacune à une extrémité de la pièce, elles demandent désespérément de les laisser tranquilles, l’homme s’approche lentement et ne sait pas vers qui aller. En pleurs, elles implorent la pitié, l’homme les fixe et commence à se retourner pour partir, il quitte la pièce et disparaît, les filles sont alors soulagées puis il réapparaît en courant pour s’abattre sur Rebecca, l’égorgeant froidement. Sara court à travers la boite de nuit et découvre le corps décapité de Carla sur le podium. Elle sort de la discothèque, la zone industrielle est vide, il n’y a personne, elle traverse cette route industrielle avec toutes les entreprises fermées.


Une voiture arrive au loin, Sara, à bout de souffle, crie à l’aide et fait de grands signes pour que la voiture s’arrête, l’homme à l’intérieur du véhicule freine immédiatement et la jeune femme se précipite à l’intérieur. Paniquée, elle lui demande d’accélérer et de l’emmener directement au poste de police le plus proche. Le vieil homme redémarre sans poser de question, la voiture repasse devant la discothèque en ralentissant, Sara lui demande expressément de ne pas rester là et d’accélérer au plus vite. Il lui dit qu’il attend quelqu’un, à partir de là, elle comprend rapidement qu’elle est prise au piège. Elle ouvre sa portière mais la voiture est verrouillée, sortant de la boite de nuit elle voit le tueur s’approchant de la voiture, elle hurle au conducteur de partir d’ici, mais lui, ne voulant rien savoir, ne démarre pas. Sara se jette sur lui et le frappe violemment, le tueur se précipite, ouvre la portière et arrache Sara de la voiture, la jetant au sol, il se déchaîne sur elle en lui donnant de violents coups de pied puis la relève, la plaquant contre la voiture pour lui donner un coup de tête qui l’assomma immédiatement.


Le tueur balance Sara à l’arrière de la voiture puis ils partent immédiatement. Ils croiseront un défilé de voitures de police se rendant à la discothèque. Ils ne seront pas inquiétés et continueront leur route. Après une dizaine de minutes, Sara se réveille doucement avec de grosses douleurs à la tête et au ventre. Ses yeux s’ouvrent puis elle découvre les têtes décapitées de Rebecca, Carla et de deux hommes posées à côté d’elle sur la banquette, sa longue nuit de cauchemar était loin d’être finie. Ses hurlements raisonnent sur ce petit chemin. La voiture circule en direction d’une vieille ferme perdue dans la campagne.


Arrivés devant cet endroit austère, le vieil homme traîne Sara à terre par les cheveux, ses hurlements n’effraieront que les animaux sauvages. Le lieu est désertique, elle essaye tant bien que mal de s’agripper à des racines d’arbres pour ne pas se faire séquestrer mais le vieil homme, avec de violents coups de pied au visage, oblige Sara à lâcher prise. A l’intérieur de cette ferme en état de ruine, la jeune femme est attachée au sol à l’aide de grosses chaines en ferraille rattachées à une poutre porteuse en bois. Les deux hommes la violent ensemble, la jeune fille, en pleurs, implore la pitié, rien ne stoppera leur érection.


Les sirènes du Samu et de la police sont déployées en force autour de la boite de nuit, le spectacle découvert à l’intérieur est effroyable. La piste de dance est maculée de sang, au sol jonchent les cadavres décapités de Rebecca, Carla, d’un videur et du gérant de la boite de nuit. Les têtes des victimes sont introuvables. Immédiatement la police inspecte les bandes vidéo de la caméra de surveillance. Au petit matin, la zone industrielle est toujours bouclée, les journalistes sont arrivés en masse, l’ambiance est lourde.


A la ferme, Sara, toujours attachée et couchée au sol, ne bouge plus. Épuisée par ces longues heures de torture, elle somnole avec comme bruit de fond le vieil homme regardant la télévision. L’autre homme, le tueur au couteau, est reparti de la ferme.


Le visionnage des bandes vidéo par la police apporte quelques pistes. En observant la caméra de l’entrée de la boite de nuit, ils distinguent une voiture passant à plusieurs reprises, prenant le soin de ralentir à chaque fois, comme si le conducteur de ce véhicule cherchait quelque chose. Immédiatement la plaque d’immatriculation de la voiture est récupérée pour identifier qui pourrait se cacher derrière le volant. Après vérification, un certain Mario Bonassoli, un homme à la retraite de 74 ans, apparaît comme le propriétaire du véhicule habitant la ville d’Arzignano, une commune se trouvant à une vingtaine de kilomètres de la boite de nuit.


Sans attendre, une équipe du GIS (Gruppo di Intervento Speciale, équivalent au GIGN en France) débarque dans la ville du suspect. Ils se positionnent en face du petit immeuble où réside l’homme identifié. Dans le parking, ils repèrent rapidement le véhicule des bandes vidéo. En s’approchant de la voiture, ils constatent que la carrosserie est toute propre, la possibilité que le véhicule ait été nettoyé il y a peu intrigue l’équipe. Les volets de l’appartement du suspect sont clos, ils ne peuvent rien observer. En pleine réunion de crise, ils décident de ne plus attendre et de rentrer en force dans l’appartement. L’immeuble est bloqué, le quartier est quadrillé par les hommes armés, le silence qui y règne à cet instant est pesant.


Un silence brisé par le bruit assourdissant de la porte du suspect littéralement explosée par le GIS, l’équipe se déploie dans l’appartement et trouve un homme en train de manger dans sa cuisine, il sera plaqué violemment au sol. Il crie pour demander ce qu’il se passe mais personne ne répond, l’appartement est fouillé de fond en comble pour trouver des indices, des armes, les têtes décapitées mais il n’y a strictement aucune trace de tout cela. L’homme menotté est directement conduit au poste de police pour un interrogatoire.


Les enquêteurs constatent alors qu’ils n’ont pas en face d’eux le propriétaire de la voiture mais son fils, Fabio Bonassoli. On lui demande donc où se trouve son père. Il répond avec hésitation qu’il n’a plus de nouvelles de son père depuis plusieurs mois et n’a aucune idée d’où il peut se trouver. Sa garde à vue est prolongée et le suspect est mis en cellule le temps que la police perquisitionne son appartement, scrute ses relevés bancaires et téléphoniques.


La nuit tombe, la ferme est plongée dans l’obscurité totale, le vieil homme ne comprend pas l’absence de son fils, l’inquiétude est vive, ce n’est pas l’habitude de Fabio de ne pas revenir le soir, Mario a un mauvais pressentiment. Devant sa télévision, il zappe indéfiniment sur les chaînes pour passer le temps et se déstresser jusqu’à ce qu’il tombe sur les informations du soir, la journaliste à l’écran informe que l’enquête sur la tuerie de la discothèque avance avec un premier suspect en garde à vue. Sans avoir comme information que c’est son fils, Mario n’a aucun doute là-dessus, l’absence de Fabio était toute justifiée. L’homme panique, il sait que la police arrivera d’un moment à l’autre, pris au piège dans cette ferme isolée sans moyen de locomotion.


Sans savoir où partir, où aller, Mario prend tout de même la décision de fuir avec Sara, en ayant pris soin de lui scotcher à plusieurs reprises la bouche pour éviter qu’elle ne crie. Comme un vulgaire morceau de viande, le vieil homme ne prend même pas la peine d’habiller la jeune femme, nue, elle déambule dans la forêt en étant tirée violemment par Mario. A plusieurs reprises elle tombera par terre, s’enfoncera plusieurs épines dans ses pieds, son corps est totalement ensanglanté et sans pitié, son ravisseur la frappera à chaque fois pour qu’elle se relève au plus vite. Le froid glacial hivernal se révélera être une longue agonie pour une expédition sans fin. Ils devront s’abriter sous des arbres pour se protéger de la pluie qui se mit à s’abattre. Toute tremblotante, Sara n’a plus la force de survivre, toutes les épreuves de ces dernières heures lui auront enlevé toute illusion de pouvoir s’échapper de cet enfer.


Les sirènes de police déchirent cette nuit interminable, plusieurs voitures arrivent en direction de la ferme avec à son bord Fabio qui a avoué détenir une femme ici avec son père. Un hélicoptère survole la zone et éclaire la ferme, le secteur est encerclé par les forces de l’ordre. Un négociateur, mégaphone à la main, demande à Mario de libérer Sara, personne ne répond. Après plusieurs tentatives d’approche, ils décident d’avancer prudemment, boucliers à la main, vers la porte d’entrée. En dehors de la télévision, aucun autre bruit suspect à l’intérieur. Ils décident de défoncer la porte et d’investir la ferme mais plus personne ne se trouve à l’intérieur. Comprenant rapidement que Mario a pris la fuite avec la victime, ils décident de faire survoler l’hélicoptère au-dessus de la forêt et de ses alentours et de déployer hommes et chiens pour quadriller un important périmètre de recherche.


Toujours partiellement protégés de la pluie sous les arbres, Sara et Mario voient passer à plusieurs reprises un hélicoptère illuminant la forêt. Eux, cachés à travers les fourrés, sont bien camouflés. La jeune femme voit dans les airs un espoir inespéré, une délivrance venue du ciel.


Dans la ferme, la police découvre un endroit lugubre, sale et malsain. Le sol est jonché de déchets, des photos de femmes nues recouvrent les murs et au-dessus de la télé, sur une étagère, se trouvent neuf têtes humaines décapitées plongées dans des bocaux de formol. Il y a certainement ici les visages déchirés de Carla et Rebecca.


Au petit matin, les chants des oiseaux relancent la fuite de Mario et Sara. Elle n’arrive plus à marcher, ses pieds meurtris d’épines et de ronces lui procurent une souffrance extrême. Tout en marchant sur la pointe des pieds, elle ne trouve plus le moyen d’avancer et ne se relève plus de sa dernière chute. Le vieil homme comprend qu’il ne pourra plus avancer avec elle et décide de s’en débarrasser. Assis sur elle, il lui donne de violents coups de poing au visage, des jets de sang sortent de sa bouche, un déchaînement de violence inouïe. Hystérique, il la retournera tête contre le sol pour lui exploser le visage. Comme un dernier stratagème, Sara reste inerte, ne bougeant plus, elle feinte une mort plausible.


La croyant morte, avant de laisser ce corps devenu boulet, il se couche sur elle pour la pénétrer une dernière fois. Sara, à moitié somnolente, sent cet homme souiller son corps une nouvelle fois, pour sa survie, elle reste impassible à cette souffrance sexuelle. Autour d’elle, son regard scrute la moindre possibilité de s’échapper, elle aperçoit une grosse pierre à proximité, son bras, discrètement, s’élance pour la récupérer. Lui, en plein viol, ne voit rien. Sara sert de toutes ses forces cette pierre et d’un cri de guerrière se retourne brusquement et frappe Mario en pleine tête. Sonné, il hurle de douleur, elle se relève péniblement et lui envoie de toutes ses forces à plusieurs reprises cette énorme pierre en plein visage. Sara rigole comme une folle de cette situation et continue inlassablement de lui défoncer la boite crânienne, sa tête est littéralement explosée.


Seule, à travers les bois, elle crie au secours mais personne ne répond. Libérée de ses tortionnaires, elle est toujours emprisonnée par sa fatigue et ses blessures handicapantes. Elle avance péniblement dans une direction dont elle ignore tout. Elle se jettera dans un petit cours d’eau pour s’hydrater un peu et continuera son chemin.


En pleurs, Sara avance en pensant fort à ses parents, à sa famille, à ses amis, elle s’imagine ailleurs, se détache de sa situation, de son état pour continuer à marcher. Les heures passent et elle ne voit toujours aucune issue à son périple. Tout d’un coup, surprise par des bruits faisant trembler la terre, elle aperçoit autour d’elle un troupeau de sangliers courir à travers bois, un spectacle impressionnant tant les bêtes sont imposantes.


Avançant prudemment de peur de tomber face à l’un de ces animaux sauvages, Sara regarde toujours au loin, espérant trouver une échappatoire. Un bruit sourd, un impact, Sara tombe au sol, une balle dans la tête. Quelques minutes après, en courant, s’avance une équipe de trois chasseurs, ils découvrent avec horreur qu’ils ont tué une femme par erreur. Pris de peur et s’échappant de leurs responsabilités, ils partiront en laissant le corps, au milieu de la forêt.


Après plusieurs semaines de recherche, le corps de Sara n’aura jamais été retrouvé par la police, laissant jusqu’à maintenant un mystère sur ce qu’est devenue cette jeune stripteaseuse. Est-elle encore en vie ? Son corps a-t-il été enterré ? Des animaux sauvages l’ont-ils dévorée ? A ce jour toujours aucune réponse de ce qui deviendra un des plus gros mystères de la région.


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Inauguration de la discothèque en 1992 :

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