Henry Lucien Duvant a fini sa vie dans cet asile. Il a été victime d’un burn out et d’une grave dépression irréversible qui l’a conduit à être l’auteur d’un fait divers macabre. Pourtant rien ne laissait présager un tel retournement de situation dans sa vie bien calme. Professeur de Mathématiques dans un lycée parisien, il a toujours mené ses élèves à la baguette avec des résultats remarquables. Strict, sévère, il se faisait respecter sans aucun problème, une autorité dictatoriale sans faille. Les années se suivirent et l’éducation des enfants n’était plus ce qu’elle était.
Le laxisme était la norme qui s’était installée durablement dans la plupart des familles. La sévérité n’était plus acceptée et Henry Lucien Duvant s’était bien adapté à cette nouvelle génération. Élèves moqueurs, flemmards et méprisants, le professeur devait faire face quotidiennement à cette pression juvénile. C’est à ce moment là que sa vie s’est détériorée. Ses colères retenues étaient déversées littéralement sur sa femme tous les soirs. Une ambiance exécrable qui l’a conduit naturellement à prendre ses premiers anti-dépresseurs, point de départ dans cet engrenage, sa vie paisible disparaissait. Une vie professionnelle chaotique, une vie sentimentale appartenant au passé, Henry se retrouvait seul, il n’avait que Lucie, son labrador, comme compagnie réconfortante.
Il passait de plus en plus de temps avec elle, devenue sa confidente, Henry ne jurait que par Lucie. Un jour, la femme du professeur découvrit par hasard, en ouvrant la porte du garage, son mari se faire lécher le sexe par la chienne. Choquée, elle referma la porte immédiatement pour aller pleurer dans sa chambre. Elle découvrit cette relation honteuse et immorale. Dégoûtée par son mari, elle n’osa plus jamais le regarder dans les yeux. Henry retrouva la joie et le bonheur grâce à Lucie. Il était tombé littéralement amoureux d’elle et souhaitait aller plus loin que ces fellations en guise de préliminaire mais le corps de la chienne ne l’excitait pas. L’idée de pénétrer ce corps animal ne faisait venir aucune érection. Un soir, une idée folle lui passa par la tête, un coup de folie démoniaque le posséda.
Il s’empara d’une hache dans le garage et décapita de plusieurs coups la tête de sa femme dormant dans sa chambre, une véritable boucherie. Après cette tête perdue, il décapita également sa chienne Lucie. Son stratagème glauque l’emmena à greffer la tête de la chienne sur le corps de sa femme et vice versa. Amateur, il rencontra de grosses difficultés pour bien coller les têtes. Grosses agrafes, gros scotchs, écharpes, tout y passa pour essayer de faire tenir chaque tête à son nouveau corps. La tête de sa femme fut donc raccordée au corps du labrador, il déposa le tout dans la niche de la chienne. Après plusieurs heures d’essais, la tête de Lucie tenait tant bien que mal au corps de sa femme et il pouvait ainsi commencer à avoir une vie sexuelle épanouie. Henry continua sa vie comme si de rien n’était en allant exercer à son lycée comme d’habitude. Son bonheur était entaché par la fragilité de la greffe faite avec la tête de Lucie qui ne faisait que tomber. Quotidiennement, le professeur devait remettre du gros scotch pour fixer la tête. Un véritable casse tête qui commençait à l’énerver sérieusement.
Après un énième essai, Henri perdit patience et emmena le corps de sa femme avec la tête de la chienne dans un magasin de bricolage pour avoir des conseils et de l’aide pour fixer une fois pour toute la tête de Lucie. L’horreur fut elle au magasin, en découvrant ce corps humain affublé d’une tête de chien, que la police fut appelée immédiatement. Un lourd examen psychiatrique emmena Henry Lucien Duvant à finir ses jours à l’asile Tillie Klimek.
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