Située en Belgique, cette maison a appartenu à la famille Michet et fut abandonnée à la mort de ses derniers occupants en 1983. Sauvée à plusieurs reprises de projets de démolition, cette bâtisse représente une part importante de l’histoire belge et les nombreuses pétitions ou manifestations pour sa préservation ont toujours atteint leurs objectifs afin qu’elle survive aux promoteurs immobiliers. Cet attachement patrimonial est sans aucun doute lié à la personnalité de Madeleine Michet, son histoire est des plus émouvantes et incroyables.
A l’époque, en 1924, Madeleine était une ravissante jeune femme courtisée par plusieurs hommes, son charme ravageur faisait d’elle une des plus belles femmes de la ville. Cette grande blonde élancée d’1 mètre 80 avait l’embarras du choix, les prétendants pouvaient se compter par dizaines. Ses parents se faisant de plus en plus pressant pour qu’elle se trouve un mari afin de fonder une famille, Madeleine se laissa donc conquérir par deux hommes, Michel et Hervé. Deux hommes pour une femme, il fallait faire un choix crucial. Complètement perdue face à ce dilemme trop compliqué, elle demanda de l’aide à sa mère. Berthe, sa maman bienveillante, lui avait conseillé de passer du temps seule avec ses deux prétendants, promener, manger, partager ensemble pour qu’elle puisse pouvoir faire son choix final avec certitude et sans regret. Les jours passèrent et Madeleine restait indécise, littéralement incapable de départager les deux hommes avec qui elle aimerait faire sa vie. Totalement désemparée, sa mère lui donna un dernier conseil, une idée que sa propre mère lui avait donnée à l’époque pour départager deux hommes et choisir son mari, l’histoire se répétait. Pour conquérir Madeleine, Hervé et Michel devaient se surpasser physiquement afin de prouver la sincérité de leur amour. Une épreuve difficile qui remontait à la Grèce Antique et qui avait l’art de montrer toute la virilité et la puissance d’un homme. Les deux hommes acceptèrent ce défi et s’entraînèrent dur pour y arriver. La souplesse étant quelque chose d’indispensable, chaque jour ils souffrirent dans l’effort afin de pouvoir arriver à leurs fins au risque d’une élongation musculaire. En larmes, fébriles, déchirés, les prétendants souffraient, peinaient à réussir ce dépassement de soi. Michel alla même jusqu’à tricher, sans limite, à se faire opérer à l’hôpital pour se faire retirer des côtes. Une tromperie qui le condamna définitivement, l’opération ayant mal tournée, pris d’une embolie pulmonaire, il décéda à l’âge de 24 ans.
Dorénavant seul, Hervé devait tout de même réussir cet acte de bravoure pour conquérir Madeleine, c’était une question de principe. Elle lui avait promis qu’elle attendrait le temps qu’il faudra afin de donner tout son amour à l’homme qui lui montrerait sa performance. Des mois passèrent, exténué, Hervé y arriva enfin, tous ses efforts quotidiens finissaient par payer. Enfin prêt à affronter la famille de Madeleine pour prouver sa réussite, ils se réunirent autour de lui afin de l’encourager dans sa déclaration d’amour en réussissant le défi antique. Nu, allongé au sol, sous les regards d’une vingtaine de personnes, totalement concentré, Hervé, les yeux fermés, se recroquevilla petit à petit en tirant l’intégralité de ses muscles et en ouvrant la bouche. Il ne restait plus que quelques centimètres pour qu’Hervé conquière Madeleine, les centimètres de la douleur. La langue s’y approchait, toucha le gland, sa bouche l’engloba, sous les applaudissements de la foule, il avait réussi cette prouesse magnifique, l’auto-fellation. L’union entre Madeleine et Hervé fut célébrée à l’église quelques jours plus tard lors d’un mariage féerique. Un moment magique qui fut rapidement terni par le quotidien du couple. Depuis qu’Hervé avait réussi à s’auto-sucer, il ne faisait que ça, il ne partait même plus au travail. Madeleine voyait son mari toujours la bouche pleine délaissant totalement son épouse, une addiction qui mit en péril ce couple naissant. La sexualité de cette femme délaissée se résumait à caresser les cheveux de son mari pendant une énième auto-fellation, un climat lourd et malsain.
En détresse, Madeleine Michet était tombée en dépression, après tant d’attente, elle s’était totalement trompée sur l’homme choisi et, à cette époque, le divorce était prohibé, l’auto-suceur était donc l’homme de sa vie. Totalement irritable, Madeleine avait des coups de colères assez violents à taper contre les portes, casser la vaisselle, à la limite de l’hystérie, cette pauvre femme était condamnée à un destin funeste. Un jour, en tapant violemment contre le mur du salon, elle fit tomber au sol un crucifix qui s’éclata en morceaux. Les bras de Jésus étaient brisés, elle le ramassa au sol et regarda fixement le regard de ce Jésus manchot. Dans un acte inexplicable, baissant sa culotte, elle s’enfonça à plusieurs reprises ce crucifix meurtri dans son vagin. Elle jouit comme jamais, elle découvrit le plaisir sexuel authentique par ce moyen totalement détonant. Elle était devenue accroc à cette pratique bâtarde, loin d’être prise de scrupules d’utiliser le sacré en objet du désir. Elle ne s’en cacha pas auprès de ses amies qui, à leur tour, furent curieuses d’utiliser un pareil objet plein de promesses. C’est comme ça que Madeleine commença à vendre des crucifix brisés qu’elle surnommait des “Jésus Michet”. Un succès commercial étonnant mais controversé par l’utilisation abusive d’une telle image religieuse pour des faits masturbatoires. Pour étendre son succès à l’international, d’un point de vue marketing, elle donna un nouveau nom à son invention qu’elle nomma le “God Michet”. La pression et les menaces religieuses se firent envahissantes, elle décida de sculpter d’autres objets du désir sans l’image iconoclaste et ostentatoire de Jésus. Son succès et sa richesse furent bâties sur ces pénis sculptés dans du bois qu’elle surnomma “Godemichet” pour garder un lien avec ses premiers essais. Maintenant abandonnée, c’est dans cette maison que naquit le plaisir pour tous dans le monde entier, une belle histoire.
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L’histoire que vous venez de lire est totalement inventée, c’est une fiction écrite pour préserver la véritable identité du lieu.
Information du 11 juin 2021 : Cette villa est actuellement en réhabilitation.
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