Suzanne a fini ses jours dans cet hôpital qui fut autrefois un asile, une mort qui fut signe de délivrance pour cette vieille dame pleine de souffrance. Décédée à l’âge de 94 ans, elle aurait pu vivre certainement plus longtemps si elle n’avait pas croisé son bourreau. Pour cette veuve, sa vie était toute tracée à s’occuper de ses petits enfants, arroser ses plantes, regarder des séries à l’eau de rose et se rendre chaque dimanche matin se recueillir sur la tombe de son défunt mari, un destin sans surprise, dans l’attente de rejoindre son être aimé. Tout bascula lors d’une rencontre inattendue un beau jour de juillet 1996. Traînant son caddie à la supérette du coin, un homme l’aborda pour lui proposer de l’aide et porter son pack d’eau bien trop lourd pour la vieille dame. Elle accepta avec plaisir, étonnée par ces gestes de courtoisie bien trop rares. Sur les 500 mètres qui séparaient sa maison de la supérette, Suzanne discuta avec cet homme providentiel. Aimable, agréable, charmeur, elle était littéralement sous son charme, elle lui proposa de boire un verre chez elle. Une belle histoire commença ce jour là. L’homme proposa de l’aider bénévolement dans toutes ses tâches quotidiennes, elle accepta immédiatement car elle avait constamment des difficultés pour faire ses courses, elle ne pouvait pas refuser une telle proposition. Seuls ses enfants se méfièrent de cet homme sorti de nulle part, la faiblesse de leur mère était un véritable danger et ils la mirent en garde face à de probables mauvaises intentions de cet homme en soupçonnant une relation basée sur son argent. Réfutant toutes ces thèses négatives, Suzanne maintint sa relation avec Honoré.
Au fil du temps, malgré une différence d’âge d’une cinquantaine d’années, Suzanne et Honoré avaient une relation plus ambiguë, des mots doux, des caresses sur le corps et des baisers échangés firent éclore une histoire d’amour étonnante. C’était inespéré pour Suzanne qui aimait de nouveau à l’aube du quatrième âge. Pour officialiser cette union, un dimanche matin, elle se rendit avec Honoré au cimetière pour le présenter devant la tombe de son mari décédé, il y avait maintenant 14 ans. Dans la famille de Suzanne et dans le voisinage, cette relation était mal perçue, il ne faisait aucun doute que cet homme était avec une personne de cet âge pour son argent et toucher un héritage, pour eux il n’y avait aucun soupçon d’amour dans cette histoire, ce couple hors norme demeurait illégitime. Mais que faire pour convaincre cette mère heureuse, de nouveau épanouie, fallait-il faire en sorte de tout gâcher pour lui ruiner le moral, le dilemme était délicat.
Les doutes envers cet inconnu prirent une autre tournure dans l’après midi du 4 octobre 1996, quand un voisin alerté par des hurlements terrifiants venant de la maison de Suzanne intervint rapidement chez elle. Venu à sa rescousse, il découvrit avec effroi une scène qui le traumatisa à vie. La vieille dame nue, à genoux dans la cuisine, en train de se faire sodomiser avec brutalité par Honoré. En larmes, toute en sueur, elle fut prise d’un malaise et s’évanouit pendant que l’homme continuait ses pénétrations violentes. Le voisin se jeta sur lui pour qu’il arrête immédiatement de la sodomiser. Une dizaine de minutes plus tard, alertés, les pompiers et le samu intervinrent pour venir en aide à Suzanne. Le rectum en sang, la vieille dame fut plongée dans le coma pour lui éviter de souffrir encore. A son réveil, Suzanne incrimina Honoré de lui avoir fait subir une sodomie brutale dans l’intention de lui faire du mal. Sur ces déclarations, le médecin en informa la police immédiatement qui fit le nécessaire pour l’interroger au plus vite. Face aux policiers, Honoré témoigna que la vieille dame lui réclamait souvent des sodomies et qu’il se laissait convaincre pour lui faire plaisir, il ne comprenait absolument pas pourquoi cette histoire prenait de telles proportions. Péniblement il essaya de les convaincre qu’il était amoureux de Suzanne et qu’il n’avait aucune mauvaise intention envers elle malgré une assurance vie de la vieille dame désignant Honoré comme bénéficiaire, ce qui était tout de même étonnant après quelques mois de connaissance. Peu convaincant dans sa défense, la police s’intéressa de plus près à la vie et au passé d’Honoré. Des découvertes qui firent changer littéralement le cours de l’enquête.
Ce n’était pas la première fois que cet homme avait des relations intimes avec des personnes âgées qui avaient toujours eu des fins tragiques, toutes mortes d’un arrêt cardiaque et systématiquement Honoré touchait l’assurance vie de ces vieilles dames. Deux victimes déclarées au nom de Adelaide et Annette. Deux familles qui avaient toujours contesté la lapidation de leur héritage et mettaient en cause Honoré dans le décès de ses conquêtes, la police n’avait jamais jugé bon d’enquêter, déclarant que les morts étaient naturelles au vu de leur âge avancé mais l’histoire avec Suzanne relança ces anciennes affaires. Un enquêteur alla même jusqu’à ordonner d’exhumer les corps d’Adelaide et d’Annette du cimetière pour pratiquer une expertise médico-légale dans l’optique de trouver des preuves que leur mort n’avait rien de naturel. Le résultat fut sans appel et le policier avait vu juste. Les deux cadavres avaient un rectum déchiqueté, brutalisé, meurtri.
Pendant sa garde à vue et devant les faits et les preuves de son implication dans le décès de ses anciennes compagnes, Honoré craqua et avoua avoir intentionnellement sodomisé violemment les vieilles dames dans le but de leur provoquer un arrêt cardiaque. Sa seule arme, mesurant 26 centimètres, ne pouvait laisser aucune chance à ses victimes. En les pénétrant brutalement, accélérant ainsi leur rythme cardiaque dangereusement, il n’hésitait pas à leur serrer le cou pour provoquer un évanouissement et décès. Chaque pénétration et claquement de testicules sur les fesses rougies de ces vieilles dames étaient une condamnation définitive, sans sursis, sans l’espoir de survivre. Un fait divers si glauque qu’il fut relayé par la plupart des médias du pays. L’homme fut surnommé « Le Rwandais » en rapport avec son pays de naissance et de son membre surdimensionné. Un surnom qui fut dénoncé comme stigmatisant et raciste pour beaucoup d’associations humanitaires, d’anti-racistes et de gauchistes. Une polémique dans la polémique, pour calmer ces critiques, les médias le surnommèrent plus sobrement « Sodokiller ». Le médecin légiste ayant autopsié le corps des deux victimes décédées et de Suzanne témoigna dans les journaux télévisés de la perversité d’Honoré, photos des rectums foudroyés à l’appui, il provoqua la consternation avec ces preuves inhumaines. Une affaire omniprésente qui créa un climat de psychose dans le pays, les vieilles dames marchant dans la rue étaient toutes apeurées à chaque fois qu’elles croisaient un homme noir, s’imaginant se faire sodomiser violemment. De quoi rajouter une stigmatisation pour une population qui en souffre déjà assez.
Face à ce climat malsain, le gouvernement mit en place une campagne de prévention à destination des personnes âgées pour leur proposer de passer un examen médical et voir si elles étaient aptes à recevoir des pénétrations anales en toute sécurité. Ils allèrent même plus loin en conseillant au troisième âge de s’abstenir de ces pratiques trop dangereuses pour elles avec une campagne publicitaire dérangeante : des affiches mettant en scène des enfants avec leur mamie et avec comme unique slogan « Ma mamie, elle fait des plans gâteau pas sodo », clairement de mauvais goût. La police soupçonna Honoré d’avoir tué d’autres vieilles dames sans pouvoir apporter les preuves, lui, témoigna qu’il avait donné beaucoup de plaisir à des centaines de femmes. Depuis, des familles se mirent à douter de la mort naturelle de leurs aïeules et demandèrent tour à tour de leur autopsier le rectum. Honoré n’était certainement pas le seul homme à avoir tué de cette façon, de là à s’imaginer un gang sodomiseur il n’y avait qu’un pas.
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