Encore un club libertin victime de règles administratives trop sévères. Après plusieurs avertissements et des amendes bien salées, le gérant n’a eu d’autre solution que de fermer son établissement en 2008. Vous l’ignorez certainement mais ces endroits, aux mœurs légères, sont soumis à plusieurs règles à respecter obligatoirement. Déjà, mettre en place une prévention pour ses clients contre les maladies sexuellement transmissibles et distribuer gratuitement des préservatifs, mais ça ne s’arrête pas là. Régulièrement, ces endroits sont surveillés et notés par des inspecteurs anonymes se faisant passer pour des clients. Sur place, ils doivent vérifier la bonne conformité du lieu. La règle que ce club a trop souvent négligée et qui l’a finalement condamné à la mort c’est le non respect du quota maximum de personnes autorisées dans les partouzes. En effet, depuis 1998, l’Etat limite à 8 personnes cette pratique. Dans le passé, plusieurs cas de suffocations mortelles ont conduit l’administration à réagir. Trop de personnes dans une partouze peut conduire à un manque d’oxygène et de respiration.


Une des pièces qui doit également être aux normes, c’est celle du Glory hole, cet endroit où les hommes mettent leur sexe dans un trou pour que la femme ou l’homme s’en occupe. Jusqu’en 2002, il n’y avait pas de législation ferme sur cette pratique et la négligence des patrons de ces clubs ont causé pas mal d’ennuis à certains de leurs clients. Beaucoup d’entre eux ont du se faire émasculer car leurs testicules étaient restées bloquées dans le trou. Des mauvaises conceptions qui ne prenaient pas en compte le diamètre des trous face aux érections plus ou moins grandes des hommes.


Et une des règles les plus contraignantes et les moins respectées, c’est celle de la pratique du fist-fucking, toute personne souhaitant s’adonner à ce plaisir doit fournir, au gérant du club libertin, une attestation de son médecin proctologue signifiant que son état de santé ne comporte aucune contre-indication.


Notre exploration nous emmène dans un endroit assez vandalisé mais on y trouve encore certaines choses qui nous rappellent que nous ne sommes pas dans une église, les dvd pornos, les magazines de cul, les strings, les préservatifs et une décoration absolument kitch, rien que cet élément là me ferait perdre toute excitation. La majorité du club libertin est dans l’obscurité, obligation de faire les photos avec les lampes torches, c’est périlleux comme pratique.


D’après les derniers faits d’actualité rapportés, il y aurait de temps en temps des sdf qui organisent des partouzes clandestines dans cet endroit, glauque.


Nous ne communiquons pas l’adresse de ce lieu pour des raisons évidentes de sécurité et n’encourageons pas à l’explorer par vos propres moyens. De nombreux cas d’accidents graves et mortels sont à déplorer dans les lieux abandonnés, merci de consulter cette page d’information : urbexsession.com/lieux-desaffectes-danger. Abstenez vous de nous demander l’adresse par message privé ou dans les commentaires, il n’y aura aucune réponse de notre part. Lors de cette exploration, aucune dégradation ni infraction a été commise pour pénétrer dans ce lieu. Nous n’avons aucune information sur les éventuels propriétaires. Si vous êtes propriétaire de cet endroit et que cette publication vous gêne, nous procéderons à sa suppression sur simple demande via notre page contact. Si vous avez en votre possession l’adresse de ce lieu et que vous souhaitez l’explorer, merci de ne rien dégrader ni vandaliser. Si les accès sont fermés, ne cassez rien pour rentrer, l’urbex est avant tout le respect des lieux, merci de faire vivre ce principe de base. Pour en savoir plus sur les règles de l’urbex, veuillez cliquer sur ce lien : urbexsession.com/les-regles-lurbex.

L’histoire que vous venez de lire est totalement inventée, c’est une fiction écrite pour préserver la véritable identité du lieu.



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